Le pape Jules II confie au jeune Raphaël, âgé de vingt-cinq ans, la décoration de ses appartements au Palais du Vatican. Dans la chambre de la Signature et la chambre d’Héliodore, Raphaël trouve l’équilibre parfait entre le Beau, le Bien, le Bon à travers les scènes représentant le Parnasse, l’Ecole d’Athènes, Saint Pierre délivré par l’ange… Le peintre atteint le sommet de l’équilibre de l’art de la Haute Renaissance dans une synthèse éblouissante.