L’eau courante, difficilement amenée par les Persans sur le plateau iranien a permis l’aménagement de jardins, déjà à Parsagadès au sixième siècle avant notre ère. Le jardin clos, inséparable du palais princier, a peu à peu été codifié pour se retrouver idéalisé dans les miniatures, les tapis, la céramique et jusque dans la conception des mosquées.