Si l’écriture existe en Iran bien avant la conquête arabo-musulmane, les arts du livre ne s’y développent qu’après. Aux influences arabes et byzantines succèdent d’autres influences venues de l’Est, notamment de Chine. Les ateliers d’Hérat, de Shiraz, de Tabriz puis de Quazvin stimulés à l’époque de la domination turco-mongole connaîtront une renommée au-delà des frontières.