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  Détail du programme de la saison 2011-2012

Les conférences
Les visites-conférences
Les visites du patrimoine local
La sortie et le voyage

 

  Les conférences en 2011-2012
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(chaque titre commence par      et est en italique et souligné.)
 Regards sur le cinéma (1)
par Mr Sylvain Palfroy
Cinéaste, concepteur médiatique et formateur - Conférences en vidéo-projection
  5 conférences:  

Auguste et Louis Lumière
  Naissance du cinémaCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Toutes les encyclopédies et histoires françaises du cinéma donnent le nom des frères Lumière comme inventeurs du cinéma. S'il est incontestable que ce sont bien les deux Lyonnais qui ont apporté la synthèse définitive aux procédés permettant de reproduire le mouvement, il n'en reste pas moins que l'histoire de cette invention est plus longue et plus complexe qu'elle ne paraît. D'autres inventeurs contemporains et non des moindres, Edison en particulier, ont revendiqué l'invention et sans leurs recherches et travaux, sans ceux qui avaient été faits précédemment, le cinématographe n'aurait certainement pas vu le jour. Il y a d'une part la mise au point technique qui s'étale sur plusieurs décennies et d'autre part ce qui allait devenir un art. C'est au cours d'une nuit d'insomnie que Louis Lumière trouvera le procédé qui permettra de mettre au point l'appareil, à la fois caméra, projecteur et tireuse, qu'il nommera Cinématographe. C'est au cours de ses propres essais dans les premières bandes qu'il réalise (Sortie des usines Lumière, Entrée d'un train en gare de La Ciotat, etc) qu'il posera les bases de ce qui allait devenir le 7e art.
De la lanterne magique aux premiers procédés de chronophotographie de Jules Marey et à l'utilisation des photographies animées par Edward Muybridge, en passant par les fantasmagories d'Emile Reynaud, premier véritable créateur de projection de bandes animées, jusqu'à l'entrée en scène d'un certain Georges Méliès, premier véritable cinéaste de fiction, la conférence nous replonge, à l'aide de documents rares et oubliés, dans le monde fascinant d'une invention qui allait bouleverser le monde.
 

Georges Méliès
  Georges MélièsCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Le destin de Georges Méliès est dramatique. Celui qui fut le premier cinéaste à exploiter le potentiel d'émerveillement de ce nouveau moyen d'expression qu'était en train de devenir le cinéma au passage du 20e siècle, celui qui fonda la première société de production et de distribution de film, celui qui fit construire le premier studio au monde fut contraint d'abandonner le cinéma.
Assistant à la première projection publique du cinématographe au salon indien du grand café et, pratiquant l'illusion dans le théâtre Robert Houdin dont il était devenu le propriétaire et l'exploitant, il comprit instantanément l'intérêt de l'invention des frères Lumière.
Technicien ingénieux, il inventa et mit au point les principaux trucages qui ont encore cours aujourd'hui : surimpression, substitution, ralenti, accéléré, cache, fondus enchaînés. Il fut à la fois producteur, scénariste, décorateur, metteur en scène, acteur. Meneur de jeu, il apparaît devant la caméra, disparaît, se multiplie, vieillit et rajeunit avec un plaisir non dissimulé de mystifier le spectateur. Ainsi, il nous entraîne dans des féeries qui annoncent les grandes oeuvres de Fritz Lang, Stanley Kubrick ou Steven Spielberg. Malheureusement, plagié et copié sans vergogne aux USA, cet indépendant ne put résister à la montée en puissance des grandes compagnies européennes, Pathé et Gaumont, et des majors américaines. Cette conférence salue le cinéaste sans qui le cinéma ne serait pas devenu le premier spectacle du monde.
 

Friedrich Wilhelm Murnau
  L'AuroreCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

"Le plus beau film du monde" selon François Truffaut nous conte une histoire universelle : celle d'un amour pur et quasi enfantin, que vient troubler une tentation extérieure.
William Fox, qui avait admiré Le dernier des hommes fit venir Murnau à Hollywood et lui donna carte blanche pour " un film infiniment cultivé, symbolique, bref tout à fait européen ". Murnau dépasse la dialectique classique d'une nature innocente et d'une ville corruptrice. Ce qui l'intéresse davantage, c'est de rendre compte de deux états du monde, au sein d'un drame romantique particulièrement poignant. L'Aurore c'est l'art du cinéma muet à son apogée, juste avant l'irruption du parlant.
 

L'affiche du film Une photo du film
  En passant la souris sur une illustration, vous l'agrandirez.
 

Alfred Hitchcock
  Alfred HitchcockCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

L'art d'Alfred Hitchcock ne peut exister que par le cinéma, comme Wagner ne peut être vu et entendu que par l'opéra. C'est sans doute l'une des causes de la fascination que cette oeuvre exerce sur le public et sur les autres cinéastes. Si cette oeuvre traverse le temps sans qu'elle semble en être affectée, c'est sans doute qu'au-delà des modes et des écoles, elle a encore quelque chose à nous dire. Le cinéma d'Hitchcock est un cinéma du faux et qui s'avoue comme tel. Il perfuse jusqu'à la matière même de l'image, ce qui paradoxalement lui procure un aspect d'une grande modernité. Chez lui le faux n'est pas seulement le contraire du vrai, il est avant tout ce qui semble être ; le monde d'Hitchcock est un monde d'apparences. Les signes qui trahissent le faux sont presque toujours portés par des objets truqués, détournés de leur usage et des personnages qui ne sont pas ce qu'ils paraissent, qui ont une double identité ou qui n'existent pas : Rébecca, Les 39 marches, Vertigo, La mort aux trousses, Psychose, Complot de famille
A partir d'une analyse systématique conduite sur la notion de faux, croisée à des éléments biographiques, la conférence, appuyée sur un mémoire universitaire, mais totalement visuelle, propose à l'auditeur d'explorer l'oeuvre et ses éléments constitutifs dans une transversalité qui fait sens et révèle une clé restée inexplorée malgré le grand nombre d'exégètes de l'oeuvre.
 

Clint Eastwood
  Le WesternCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Genre parmi les genres, le Western n'existe pourtant que par L'Amérique, son territoire, ses paysages, et ne porte que sur une période très courte de son Histoire : la conquête de l'Ouest. Le western nous raconte un mythe typiquement et exclusivement américain, fondateur de la culture de ce pays : le mythe de la frontière, théorisé à la fin du 19e siècle au moment même où celle ci disparaît. Portant ce mythe, et travaillé par lui, le genre n'a cessé en retour de le questionner. Ainsi son Histoire, à travers les trois grandes périodes qui composent la conférence (Western classique, Sur-Western et Western crépusculaire) ne cesse de nous raconter la lente désagrégation du mythe, de La Piste des géants de Raoul Walsh à Impitoyable de Clint Eastwood.
 
 
     

 Rêves de femmes, femmes rêvées
par Mme Sylvie Testamarck
Diplômée des Beaux Arts - Artiste plasticienne - Conférences en vidéo-projection
  4 conférences:  

Séraphine Louis
  Séraphine de Senlis et autres artistes médiumniquesCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Séraphine Louis ( 1864/1942) dite Séraphine de Senlis est une artiste autodidacte. Longtemps classée parmi les naïfs en raison de sa rencontre avec Wilhem Uhde, l'atmosphère inspirée qui entoure sa production la range plus sensément parmi les artistes visionnaires .Outre la présentation de son œuvre, il sera donc également question de travaux ayant leur origine dans les doctrines et pratiques spirites ou dans les expériences visionnaires ( visions, voix, mains automatiques.). Des artistes tels Augustin Lesage, Joseph Crépin , Madge Gill et d'autres seront évoqués.
 

Portrait de Berthe Morisot
édouard Manet, 1872
  Elles: femmes artistesCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Cette conférence propose une présentation chronologique des femmes artistes de la fin du 19ème siècle jusqu'à nos jours. Des pionnières de la fin du 19ème ( telles Rosa Bonheur, Berthe Morisot ou Mary Cassatt) en passant par les combattantes des années-soixante ( telle Niki de Saint-Phalle), nous parviendrons jusqu'à notre époque dans laquelle s'inscrivent brillamment dans l'histoire de l'art des artistes comme Louise Bourgeois, Cindy Sherman, Annette Messager ou Sophie Calle.
 

Mère et enfant
Picasso - 1922
  Images de femmesCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

La représentation de la Femme dans l'histoire de l'art occidental à travers trois figures majeures : l'image de Marie, la mère, l'épouse. La figure mariale est en effet très abondamment représentée dans la peinture chrétienne.
La représentation de la femme associée à la fécondité ( la mère elle-même) remonte quant à elle à la préhistoire. Le thème de l'épouse ou celui de la compagne officielle est également récurrent. A travers un choix iconographique très diversifié nous tenterons d'analyser une série d'œuvres ayant traité ces différents sujets.
 

Vénus au bain
François Boucher
  Le thème de l'amour décliné en peintureCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

L'amante, considérée comme la féminité incarnée, est très abondamment représentée dans les arts figuratifs. Du 15ème siècle jusqu'à nos jours, comment les artistes ont-ils interprété les différentes situations de l'amour ? Celui-ci est divinisé chez Botticelli , volontiers profane chez Rembrandt, franchement érotique chez Fragonard ou François Boucher, souvent tragique chez Rodin, désabusé chez Edward Hopper.. Du Titien à Nan Goldin, nous retracerons dans cette présentation illustrée d'œuvres majeures les différents fragments de l'aventure amoureuse.
     

 Servir Dieu et les hommes: les grands ordres monastiques
par Mr Pierre-Alain Mallet
Diplômé de l'Ecole du Louvre - Conférences en vidéo-projection
  5 conférences:  

St Benoit de Nursie
  Les Bénédictins et les premièrs ordres monastiquesCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

St Benoit de Nursie fut le premier à tenter d'encadrer la floraison des vocations monastiques par des règles évitant les débordements. Mais sa règle, trop intellectuelle, trop pragmatique, ne s'ancra dans le monde qu'en se mêlant à celle, plus rigide et mystique venue d'Irlande par la prédication de saint Colomban.
 

Les trois fondateurs de Cîteaux : Robert, Aubry, et étienne Harding.
  Clunisiens et CisterciensCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

La réussite fulgurante des ordres monastiques dès l'époque carolingienne les mit face à un dilemme grave : devenir une puissance politique ou chercher à se retirer au “désert”. L'affrontement entre les moines noirs de Cluny, la plus riche abbaye de la chrétienté et les moines blancs de Cîteaux en fut l'illustration la plus éclatante.
 

Bannière de l'état monastique
des chevaliers teutoniques.
  Les ordres militaires, Templiers et Chevaliers TeutoniquesCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Les Templiers
"Les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon" devint un ordre militaire et religieux en 1129 chargé de protéger et d'accompagner les pèlerins. Pour remplir cette mission, l'Ordre établit, grâce à de nombreux dons, un important réseau de commanderies en Europe. Puis il s'enrichit en acceptant d'avoir des activités bancaires bien qu'officiellement ces actions ne devaient pas rapporter d'argent. La fin des Templiers sous Philippe le Bel provoqua la naissance d'une légende encore très vivante aujourd'hui.
Les Teutoniques
Fondé en Terre Sainte en 1190 après la prise de Jérusalem par Saladin, l'Ordre de la Maison de Ste Marie des Teutoniques est ainsi nommé car la plupart de ses membres étaient des Teutons. D'abord uniquement organisation charitable, il est très vite réorganisé en ordre militaire. Après la prise de St Jean d'Acre, obligés de quitter la terre Sainte, ils vont avoir une action très politique en Prusse, mais l'Ordre ne sera dissout qu'en 1809... ne gardant que quelques missions charitables.
 

Saint François
prêchant aux oiseaux
Giotto
  Les ordres mendiants : Franciscains et DominicainsCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Le développement du phénomène urbain au XIIe siècle mit l'accent sur la nécessité d'une présence spirituelle au coeur des villes où l'impiété ou l'hérésie fleurissaient. L'idée d'un ordre mettant en avant la pauvreté comme idéal de moralité trouva un écho puissant en Europe et le soutien de la papauté qui en fit un instrument de lutte contre les Cathares.
 

L'une des premières versions
du christogramme
  Les Jésuites et les ordres spécialisésCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Créé à Monmartre par un espagnol, l'ordre des Jésuites visa immédiatement à l'universalisme. Mettant la puissance de ses réseaux d'éducation au service de la papauté, ils devinrent très vite un danger pour les royaumes qui les firent interdir avant une renaissance qui continue de nourrir les fantasmes jusqu'à nos jours.
Pour mener à bien diverses missions, les ordres traditionnels se réforment et de multiples congrégations voient le jour : Visitandines, Trinitaires, Mercédaires, Frères Pauliniens…
     

 Venise: histoire et culture d'une Cité-Etat
par Mme Stéphanie Bernardin
 Diplômée de l'Ecole du Louvre - Conférences en vidéo-projection
 
C'est un voyage pas toujours romantique qui vous est proposé à travers l'histoire et la culture de Venise. Marquée par une indépendance glorieuse, Venise fut considérée pendant dix siècles comme miracle politique et économique avant de devenir une destination touristique. La lutte quotidienne contre les éléments a encouragé l'esprit l'entreprise, le goût de se battre, celui de créer et de s'évader. On s'est opposé à la mer et au continent, on s'est battu contre les envahisseurs et contre les esprits étroits.
C'est une ville hors norme, tout simplement magique, que nous vous invitons à découvrir.
  5 conférences:  
 
Les chevaux de Saint-Marc
  Venise au Moyen AgeCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Fondateur de la cité-Etat, le Moyen Age vénitien est prolixe. De la quête des reliques de saint Marc à la mise en place de ses institutions, Venise se construit au sens propre et figuré. La cité s'exporte et fonde un empire commercial dynamique. Les pieux de bois qui supportent les églises et palais gothiques trouvent un parallèle dans l'écriture des lois sociales et politiques. Tous devront soutenir la ville pendant dix siècles.
 
 
Mosaïque de marbre
Basilique Saint-Marc
Paolo Uccello
  L'humanisme vénitienCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

La notion d'humanisme évoque spontanément Florence et la Renaissance. Venise sera une exception dans le contexte intellectuel et culturel européen. Son insularité et son ouverture vers la Méditerranée lui donneront un relief différent. Entre Orient et Occident, sa pensée s'écrit voire se publie avec une tolérance sans équivalent.
De la fin du Moyen Age à l'ère baroque, voyageons à travers la mentalité vénitienne.
 
 
Le Doge Francesco Venier
Titien
  Le siècle de TitienCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Une exposition temporaire organisée autour de la figure de Titien et ses suiveurs remporte toujours un franc succès. Si Venise fait rêver, sa peinture, alliant naturel et sensualité, séduit. Entre concurrence et collaboration, Venise a encouragé l'activité artistique sur un mode "patriotique et religieux". Influencé par la lumière de la mer et le regard tourné vers les dorures de Saint-Marc, le peintre vénitien décore la cité à la gloire de Dieu !
 
 
Les masques
Pietro Longhi
  Splendeur et décadence au XVIIIe siècleCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Tiepolo meurt à Madrid, Goldoni écrit ses mémoires en regardant Versailles, Casanova se fait oublier en Bohème. Tous "exportent" l'image de Venise. Tous en parlent mais la fuient. "Décadente" Venise, comme le suggèrent les premiers touristes avides de plaisirs faciles ?
Carnaval permanent, théâtre rococo, gérontocratie, constituent les ingrédients contradictoires du dernier siècle d'indépendance vénitienne.
 
 
Dirk Bogarde dans
"Mort à Venise"
  Dictionnaire amoureux de Venise Cliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

C'est sous forme d'un Abécédaire que ce cycle s'achève. Sautillant de Byron à Thomas Mann, nous chaussons les bottes du voyageur au XIXe siècle. Que cherche-t-on dans la cité endormie ? Les traces d'une gloire passée ? L'inspiration ?
Destination mélancolique, Venise peut être fatale au voyageur en déroute. Le voyage à Venise est alors aussi celui des âmes damnées d'un siècle (déjà) matérialiste.
   
     

 Le Design : 150 ans d'histoire de l'objet et du décor. (2)
par Mme Sylvia Gagin
 Diplômée de l'Ecole du Louvre - Conférences en vidéo-projection
  3 conférences:  
  Les années 1920-1930Cliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

1 - Etat des lieux : L'exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes (avril-octobre 1925)
2 - L'Union des artistes modernes : 1928-1958
3 - L'essor du design organique en Scandinavie.
En conclusion : Positions de l'objet à la fin d'une époque. L'exposition internationale de 1937
 

Knoll - Chaise tulipe
  Les années d'après guerre - Le design au service du monde de l'entrepriseCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

En introduction : en 1939, l'exposition internationale de New-York "construire le monde de demain" (1938 création du service "art et couleur" de la General Motors).
1 - Les maisons d'édition américaines : Hermann Miller et Knoll
2 - Le design industriel en Europe : 1943 : fondation d'Ikea - En Italie, Kartell et Olivetti - En France, succès du Salon des Arts ménagers dans les années 50
3 - Un mot sur le design Japonais. L'oeuvre d'Isamu Noguchi..
 

Fauteuil Globe Chair
  Les dernières décennies du XXe siècleCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

1 - Les années pop - triomphe des matières plastiques dans les années 1960.
1966 : Le fauteuil Globe Chair ou Ball Chair d'Eero Arnio
Le psychédélisme à l'honneur . Verner Panton
2 - L'après 1973 : un nouvel ordre du design.
3 - Eclectisme des années 80- Le groupe Memphis et Ettore Sottsass.
A venir : développement durable et low design (les propositions de Martin Szeleky)
 
 
 
Sites internet à consulter:
www.portaildesign.fr
Objets et mobiliers des XXe et XXIe siècles dans les collections publiques françaises.
 
www.larevuedudesign.com
Pour suivre l'actualité du design.
     

 Arts et Culture du Japon
par Mr Gérard Caron pour la première conférence et Mr Laurent Abry pour la suite
 Conférences en vidéo-projection
 
Relais important dans la diffusion des modèles chinois, la Corée a transmis à l'archipel nippon de nombreux éléments tant culturels qu'artistiques. Mais sur cette base, le Japon a greffé ses anciennes traditions. De la fusion de tous ces éléments, est née une culture originale dont le théatre avec ses masques hiératiques est certainement une des plus belles manifestations.
  5 conférences:  

Jardin de pierres
du temple Ryoan-ji
  Le Japon et la FranceCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

La première image parle d'elle-même. On y voit côte à côte un bouddha, serein, et un christ crucifié pour exprimer la différence de culture. Gérard Caron nous emmène vers l'héraldique japonaise, avec ses samouraïs, en la comparant à l'héraldique française. Il rappelle que la France est un melting pot, alors que les japonais vivent dans une île et sont toujours restés chez eux. Il en déduit, en image, les conséquences
Il compare le luxe français au luxe japonais: le luxe français est une surcharge, comme la Galerie des Glaces de Versailles. Le luxe japonais a toujours été dans l'épure, et de tous temps puisque la tradition du Japon est figée, la nôtre étant constituée de ruptures faisant les styles et les époques picturales. En Europe, rien de commun (apparemment) entre un tableau de Millet, de Picasso, de Vasarely. Au Japon, l'image, épurée, aux couleurs souvent neutres, est comme hors du temps. En France, le jardin décore la maison, au Japon il appartient à la maison.
Gérard Caron sait qu'en matière de design, tout commence par le verbe. Il étudie la structure du langage dans les deux cultures. Le nôtre est plus abstrait que la langue japonaise, qui est une calligraphie signifiante. Par exemple, le nom " arbre ", à la façon d'une brique Lego servant à construire, se répète lui-même deux fois dans le nom " bosquet" et trois fois dans le nom " forêt ".
Lors de cette conférence, nous comprenons que, malgré les ruptures, nous sommes un pays stable alors que le Japon, île deux fois plus peuplée que la France, subit tremblements de terre, tsunamis et éruptions volcaniques! Gérard Caron démontre ensuite que, en termes de marques de luxe, le Japon est finalement proche de nous. Tout comme en cuisine, élevée au rang d'art.
 

Céremonie du thé
  Les jardins japonais et la cérémonie du théCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Au Japon, l'aménagement de jardins est un art important et respecté, partageant des codes esthétiques avec la calligraphie et le lavis. Le jardin japonais cherche à interpréter la nature en limitant les artifices.
Lors de la cérémonie du thé, on célèbre l'harmonie, le respect, la pureté et la tranquillité d'esprit. Souvent champêtre, ce rite est extrèmement complexe : cérémonial de la perfection au coeur d'un jardin reflet de l'âme perfectible. Il semble que la cérémonie du thé au Japon ait d'abord été un dada des moines bouddhistes zen. Préparé à partir d'un thé vert (matcha), les moines faisaient de ce moment particulier une sorte de rituel qui incitait au calme et à la méditation. A la cour de l'empereur, il est raffiné à l'excès par un Maître du thé, atteignant des sommets de perfection.
 

Masques de théâtre japonais
  Le théâtre japonaisCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Art composite, interprété exclusivement par des hommes, mêlant textes d'un haut niveau poétique, chants et musiques, costumes somptueux, les acteurs sont caractérisés par des masques travaillés comme de véritables oeuvres d'art. Les principales formes de théâtre classique du Japon sont le nô (drame lyrique créé au 14e siècle), le kyôgen (intermède comique du nô), le bunraku (théâtre de marionnette créé au 17e siècle) et le kabuki (semblable à l'opéra comique, également créé au 17e siècle). La légende veut que le théâtre japonais vienne d'un spectacle donné par les dieux pour faire sortir Amaterasu, déesse du soleil, de la grotte où elle s'était réfugiée.
 

Ukiyo-e de Kuniyoshi Utagawa représentant Masanosuke Inagawa
  Les arts de la guerreCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

Les arts martiaux furent introduits au Japon par les Chinois ayant découvert l'île. Ces arts martiaux tirent vraisemblablement leurs racines de la boxe de Shaolin et la majeure partie d'entre eux ont pour base des enseignements religieux bouddhistes, confucianistes et shinto. L'apprentissage de techniques de combat permirent à ceux qui les apprirent de devenir les ancêtres des samouraïs. La plus ancienne école d'arts martiaux officielle fut fondée en 1447 et encore aujourd'hui ces arts font partie intégrante du quotidien japonais. A l'ère de prospérité, appelée ère Edo, les techniques de combat ainsi que des armes entrèrent dans la légende.
 

Vase à décor de canard mandarin sous couverteEnji Nishiura V,,
Fin de l'ère Meiji (1868-1912), Collection Noritoshi Takagii
  Les arts décoratifsCliquez pour afficher la présentation de cette conférence, cliquez de nouveau pour la cacher.

L'ensemble des traditions japonaises s'est façonné au fil du temps, on l'appelle Kansei (sensibilité) : le sens de l'hospitalité, une vision de la nature nourrie au contact de la beauté toujours renouvelée de l'environnement au fil des saisons, le souci de mettre en valeur la qualité intrinsèque des matériaux et un sens esthétique mûri au sein d'une culture profondément présente. C'est pendant l'Exposition Universelle de Paris de 1900 que les arts décoratifs japonais connaissent un nouvel intérêt entraînant unepériode d'intense production mêlant des influences artistiques occidentales telles que l'Art Nouveau et l'Art déco tout en conservant également une sensibilité propre au Japon..
   
Voir une bibliographieCliquez pour afficher cette bibliographie sur l'Art et la Culture du Japon
     

  Les visites-conférences en 2011-2012
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(chaque titre est précédé d'une illustration et est souligné.)
   Visite avec Mr Patrick. Hemmler
 
La grande cascade de Le Pautre
et le château en 1845,
gravure d'après un daguerréotype
   Le Parc de Saint CloudCliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
Le nom officiel du Parc de St-Cloud est  "Domaine national de Saint-Cloud ".
Sur un petit domaine appartenant aux Gondi que Louis XIV achète pour son frère le duc d'Orléans, les architectes Le Pautre puis Jules-Hardouin Mansart bâtissent le château entre 1670 et 1690. André le Nôtre trace le dessin du parc de 400 hectares.
Marie-Antoinette achète le domaine et fait agrandir le château.
Après la Révolution, le palais est remanié pour Bonaparte et devient la résidence d'été de tous les souverains jusqu'à Napoléon III. Le palais sera incendié lors de la guerre franco-prussienne puis les ruines sont rasées en 1892.
Il en reste quelques bâtiments et un des plus beaux parcs d'île de France.
Nous parcourrons les allées: allée de Marnes, allée de Monsieur, ... et nous verrons les différentes fontaines.
    Voir un compte renduCliquez pour afficher le compte rendu de cette visite
     

 
Visite avec Mme Françoise Gagliano et/ou Mme Marie de Leusse Musée de la Marine
 
  Exposition "Paquebot France"Cliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
Paquebot légendaire, œuvre industrielle nationale, témoin d'une société et des arts décoratifs des années 60.
L'exposition ouvre au public des perspectives de découvertes variées : conception et construction du navire, histoire et société, arts décoratifs, vie à bord.
Sur 1 000 m2, le mythe "France" renaît à travers objets, mobilier, souvenirs, maquettes, reconstitutions d'espaces, photographies et films.
     

 
Visite avec Mme Catherine Petit et/ou Mme Françoise Gagliano Musée du Luxembourg
 
  Exposition "Cézanne et Paris"Cliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
Bien que provençal, il fit 20 fois le trajet Aix en Provence- Paris ! Jeune, il a l'ambition de conquérir Paris, sans succès... Mais après 1890 lorsque critiques, marchands et collectionneurs commencent à s'intéresser à son œuvre, c'est à Paris qu'il imprime à tout jamais sa marque dans l'art moderne devenant ainsi "notre père à tous" selon la formule de Picasso.
     

 

Visite avec Mme Catherine Petit
Grand Palais
 
Nu à la serviette
Picasso
  Exposition "L'aventure des Stein ... Cézanne, Matisse, Picasso"Cliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
D'origine américaine Gertrude (poétesse, dramaturge et féministe) et deux de ses frères s'installent à Paris au début du XXème siècle. Premiers acheteurs de Matisse et Picasso, ils se constitueront l'une des plus étonnantes collection d'art moderne .Ils accueillent chez eux, rue de Fleurus, toute l'avant–garde artistique: intellectuels et artistes: Matisse, Picasso, Braque mais aussi Apollinaire et des écrivains américains tels Hemingway ou Scott Fitzgerald.
     

 
Visite avec Mme Marie de Leusse et/ou Mme Anne de Farcy  Place de la Concorde, Paris
 
  L'Hôtel de la Marine Cliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
L'hôtel de la Marine fut construit entre 1757 et 1774 pour abriter dès 1772 le garde-meuble de la Couronne. Il a été bâti sur les plans de Gabriel sous la direction de Jacques-Germain Soufflot. Les décors intérieurs sont d'une grande magnificence et constituent une étape importante dans l'évolution du goût au XVIIIème siècle. Bien que remaniés sous le second Empire, les grands salons d'apparat et surtout la Galerie Dorée conservent encore certains éléments du décor d'origine.
     

 
Visite avec Mme Catherine Petit et/ou Mme Françoise Gagliano  Cité de l'Architecture et du Patrimoine
 
  Exposision "L'hôtel particulier: une ambition parisienne"Cliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
L'exposition propose de développer un triple parcours:
- le premier, par la reconstitution d'un petit hôtel particulier dont le visiteur découvrira les différentes pièces décorées comme une véritable maison habitée,
- le second, à travers l'histoire chronologique de l'hôtel, structurée autour d'une suite de maquettes d'édifices choisis pour leur caractère emblématique, de l'hôtel de Cluny au Palais Rose,
- enfin, le dernier, par une vision thématique de l'hôtel (architecture, décors intérieurs, jardins).
     

 
Visite avec Mr Pierre-Alain Mallet  B. N. F.
 
  Exposition " Casanova, la passion de la liberté" Cliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
La B.N.F. a acquis en février 2010 le splendide manuscrit écrit en français de " l'histoire de ma vie " de Giacomo Casanova. Pour célébrer cet évènement, elle consacre une grande exposition à cet étonnant personnage et écrivain. A travers la présentation de pièces exceptionnelles (gravures, peintures, sculptures, vues d'optique, objets, collections d'étoffes, films et musiques), l'exposition fait appel à tous les sens du visiteur.
     

 
Visite avec Mme Catherine Petit et/ou Mme Françoise Gagliano  Musée Marmottan
 
Le cerisier
  Exposition "Berthe Morisot" Cliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
Le musée Marmottan organise la première rétrospective de l'œuvre de Berthe Morisot (1841-1895) présentée à Paris depuis près d'un demi-siècle. 150 peintures, pastels, aquarelles, sanguines et fusains provenant de musées et de collections particulières du monde entier, permettent de retracer la carrière de la plus illustre des femmes impressionnistes.
     

 
Visite avec Mr Patrick Hemmler et/ou Mme Bommart  VincennesCliquez pour atteindre le site du château
 
  Le château de VincennesCliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
Depuis sa construction au 15ème siècle par Charles V, le château de Vincennes est, avec le Louvre, l'un des châteaux les plus importants de l'histoire de France. Vincennes, c'est aussi l'un des châteaux forts les plus vastes et les mieux conservés d'Europe.
    Voir un compte renduCliquez pour afficher le compte rendu de cette visite
     

  Les visites du patrimoine local en 2011-2012
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 Centre d'Art Jacques Henri Lartigue  
  Pour rire!   Daumier, Gavarni, Rops: l'invention de la silhouetteCliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
 
Pour la première fois, un musée français organise une exposition qui compare plus d'une centaine de dessins, de lithographies et de peintures de ces trois caricaturistes de talent.
La caricature sociale n'épargne personne et les visions cyniques, comiques et tendres que portent les trois artistes sur leurs contemporains permettent de découvrir un panorama de la société du début du XIXe siècle et au fil des œuvres se dessine une silhouette comique.
 
Honoré Daumier (1808-1879) né à Paris
Il participe au journal La Caricature et est emprisonné pour ses caricatures politiques. Daumier est aussi peintre, dessinateur et sculpteur. Il est mort à Valmondois le 10 février 1879.
 
Paul Gavarni (1804-1886) né à Paris
Il lance Le Journal des gens du monde qui fait faillite en 1834, il travaille alors pour le Charivari et l'Artiste où il devient célèbre grâce à ses séries de caricatures de mœurs. A côté de cette activité de dessinateur de presse, Gavarni participe à de nombreuses petites publications humoristiques et sociales qui évoquent les types parisiens.
 
Félicien Rops (1833-1898) né à Namur
Il commence la caricature dans des groupes d'étudiants bruxellois : Le Crocodile, La Société des Joyeux, et dans le journal qu'il fonde en 1856 : Uylenspiegel, journal des ébats artistiques et littéraires. Cette belle aventure éditoriale se termine en 1863, faute de moyens, mais sa carrière entière est empreinte de ce regard humoristique qu'il porte sur la bourgeoisie.
   

  Ce que l'oeil ne voit pas. - Gravures et dessins de Christine BouvierCliquez pour afficher la présentation de cette visite, cliquez de nouveau pour la cacher.
 
L'oeuvre gravé
Ancienne élève du peintre et graveur Pierre Courtin à l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris, Christine Bouvier réalise dans son atelier valdoisien des gravures, reflets du regard de l'artiste sur des ruisseaux, des dolines, des flaques ou des mares, au hasard de déambulations dans des lieux du quotidien. Christine Bouvier transforme des paysages anonymes en un monde aqueux, boisé, dense tout en reflets clair-obscur.
L'artiste révèle, au travers de 80 gravures récentes, un essentiel invisible pour les yeux.
Par la relecture de ce quotidien et par sa maîtrise savante, contemporaine et intuitive des techniques de la gravure, Christine Bouvier donne naissance à un ensemble d'oeuvres bruissantes de sensibilité mystérieuse.
 
Les dessins
Avec une trentaine de dessins composant deux séries - "Présences" et "Au fil du temps" - Christine Bouvier aborde les questions de mémoire et de temps, à travers l'émergence et l'effacement des corps, des visages et des gestes. à la recherche d'une limite entre l'apparition ou la dissolution dans la lumière du papier, Christine Bouvier utilise des outils très simples : quelques crayons, une gomme.
L'artiste marque, trace, puis efface, reprend sur les signes indélébiles, enfin, élague jusqu'à ce que le corps du dessin ne puisse plus disparaître, inscrit sans recours possible dans les fibres du papier.
   

 

La sortie et le voyage de 2011-2012

Sortie:  Maison de Chateaubriand - La Vallée aux Loups et le domaine de Sceaux
   
Voyage:  Sur les pas des Plantagenêt

 

Maison de Chateaubriand - La Vallée aux Loups et le domaine de Sceaux (1 jour)
 
 
Programme
Carte interactive de la sortieCliquez pour afficher la carte, cliquez de nouveau pour la cacher

D'après Google Map
Loups Sceaux
 
7h 30
Départ de la Maison de l'Isle-Adam - Parc Manchez
   
Le matin  
 
Maison de Chateaubriand - La Vallée aux Loups

Chateaubriand
En novembre 1807, l'auteur s'installe avec son épouse Céleste dans ce qui n'est alors qu'une maison de jardinier, à laquelle il donnera une empreinte toute personnelle qui en fait aujourd'hui une maison d'écrivain singulière, fortement marquée par la présence de l'auteur.
Si c'est à Combourg que Chateaubriand dit être devenu ce qu'il est, la Vallée-aux-Loups est indéniablement l'autre lieu emblématique lié à la mémoire de l'écrivain. C'est là en effet que s'exprime toute la dimension de l'homme, à la fois écrivain, homme politique, voyageur et botaniste.
   
Déjeuner
Restaurant "La Roseraie" à Fontenay aux roses
   
L'après-midi  
 
Le domaine de Sceaux
Propriété du célèbre intendant des finances de Louis XIV Colbert, le Château de Sceaux a été conçu par Claude Perrault, Le Brun et Le Nôtre.
Son parc dont les perspectives s'organisent autour de la grande cascade, offre un cadre idéal pour flâner sur les pelouses de ses 7 jardins.
 
 
vers 19h
Retour à la Maison de l'Isle-Adam
   
 
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"Sur les pas des Plantagenêt"  avec Mme. J. Fructus (3 jours)
Le cœur historique intra-muros du Mans conserve une centaine de maisons à pans de bois. Les plus anciennes datent de la fin du XIVe s., la majorité des XVe et XVIe siècles. Cette architecture puise dans des techniques dont certaines renvoient à l'époque gauloise.
Depuis quelques années, les maisons retrouvent progressivement leurs couleurs médiévales : bleu, lavande, jaune, vert ou rouge. Sept maisons sont encore ornées d'un pilier d'angle, dit cornier. Ces piliers servaient d'enseigne pour des commerces. Ils étaient également un moyen sûr de se repérer en l'absence de numérotation des rues.
 
 
Programme
Carte interactive du voyageCliquez pour afficher la carte, cliquez de nouveau pour la cacher

D'après Google Map
Arville Bourre Mace Brissac Lambert Mans
 
Mercredi 30 mai 2012
6h 00
Rendez-vous à l'Isle-Adam: Parc Manchez Maison de l'Isle-Adam
6h 45
Départ de Saint Germain en Laye RER   (groupe de Mme Fructus)
     
 
La Commanderie templière d'Arville     → 
Fondée vers 1130, la Commanderie d'Arville fut un centre de recrutement et de formation militaire des Templiers avant leur départ pour la Terre Sainte. Après leur arrestation en 1307, la Commanderie devint la propriété des Hospitaliers qui vécurent dans l'édifice jusqu'à la Révolution française…
     

 

Déjeuner libre sur une aire d'autoroute.
     
 
Le chateau du Plessis-Bourré     → 
Entouré de larges douves, harmonieux dans son cadre médiéval, Plessis-Bourré garde le charme champêtre d'une grande demeure…
     
 
Hôtel de Loire à Trélazé - Dîner à l'hôtel.
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Jeudi 31 mai 2012
 
Départ de l'hôtel
     
 
Le château de Plessis Macé     → 
Véritable dentelle de tuffeau, la charmante galerie suspendue accueillait les belles dames du temps qui se pressaient pour assister aux joutes et jongleries…
     
 
Le château de Brissac     → 
Déjeuner dans les cuisines médiévales du château.
Il surprend par son élévation (48 m de hauteur) et par l'enchevêtrement des deux constructions, aux styles très tranchés…
     
 
Le musée de la Vigne et du Vin d'Anjou  → 
à St Lambert du Lattay
Un parcours original à travers sept espaces présentés comme autant de tableaux en mouvement pour évoquer l'univers fascinant de la vigne et du vin …
   
 
Hôtel Chanteclerc au Mans - Dîner au restaurant "La Feuillantine"
 
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Vendredi 1er juin 2012
 
Départ de l'hôtel
 
     
 
Musée du Parchemin et de l'Enluminure  → 
à Rouillon
Unique en Europe, véritable musée vivant il est composé d'une galerie d'exposition et de 4 ateliers de fabrication…
   
 
Déjeuner "Le Grenier à Sel" au Mans
     
 
Le Mans    → 
Visite de la ville : remparts, la cité Plantagenêt, la cathédrale Saint Julien, Hôtel-Dieu de Coëffort, le Carré Plantagenêt…
     
 

Retour vers Saint Germain en Laye et L'Isle-Adam

 
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