| Détail du programme de la saison 2015-2016 |
Les conférences
Les visites-conférences
Les visites du patrimoine local
La sortie et le voyage
 Les conférences en 2015-2016
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 Hector Berliozpar Mr Pierre Alain Mallet Diplômé de l'Ecole du Louvre - Conférences en vidéoprojection |
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 Hector Berlioz Photographie de Pierre Petit 1863 |
Berlioz n'a jamais voulu être romantique. Il s'est toujours considéré comme un classique nourri de culture antique mais ouvert sur la modernité de son temps. Il développa une oeuvre à la fois miroir de sa passion pour la direction d'orchestre mais aussi d'une vie riche en passions amoureuses. Reconnu comme chef d'orchestre et critique, il ne connut le succès qu'à l'étranger, sa musique paraissant trop émotionnelle pour le goût français.
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 Le Arts en Iranpar Mme Edith de La Fournière Diplômée de l'Université Paris I Sorbonne - Conférences en vidéoprojection |
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 La ziggurat de Chogha Zanbil située à 40 km au sud-est de Suse |
Depuis les 1ères constructions apparues en Iran il y a 7 000 ans, jusqu'au palais et mosquées les plus récents, l'architecture iranienne n'a cessé d'évoluer au gré des invasions, dominations et influences culturelles, subies ou voulues. Parmi les formes les plus remarquables : la ziggurat apparue au 2ème millénaire avant notre ère, ou l'apadana, salle de cérémonie conçue un siècle plus tard. Parmi les matériaux incontournables : la terre, le pisé et à la céramique vernissée en passant par la brique.
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 Reconstitution libre du "jardin royal" de Pasargades |
Entouré de montagnes qui retiennent les nuages, le plateau iranien serait désertique si les Perses n'avaient développé des trésors d'intelligence pour y amener l'eau courante. Cette eau a permis l'aménagement de jardins, déjà à Pasargades au VIè siècle avant notre ère. Le jardin clos, inséparable du palais princier, a peu à peu été codifié pour se retrouver, idéalisé, dans les miniatures, les tapis, les céramiques, et jusque dans la conception des mosquées…
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 Art toreutique Perse |
La représentation "historiée" en 2 ou 3 dimensions existe sur le plateau iranien dès la très haute antiquité, et ce, dans des domaines aussi différents que la poterie et la céramique, la toreutique et la glyptique sans oublier l'architecture. L'invasion arabo-musulmane et les nouvelles exigences qu'elle suppose, tant spirituelles que matérielles, vont bouleverser les traditions et permettre finalement un renouvellement de la représentation persane, dans tous les domaines de la création.
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 Page d'un Shâh Nâmeh relatant la bataille de Cadésie contre les Arabes |
Si l'écriture existe en Iran bien avant la conquête arabo-musulmane, les arts du livre ne s'y développent qu'après. Aux influences arabes et byzantines succèdent d'autres influences venues de l'est, notamment de Chine. Les ateliers d'Hérat, de Shiraz, de Tabriz puis de Qazvin, stimulés à l'époque de la domination Turco-mongole, connaîtront une renommée au-delà des frontières.
Un des livres les plus illustrés est le Shahnameh ou Livre des rois.
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 Tapis de Qom |
Des archéologues russes ont découvert, dans les années 40 près du mont Altaï, des tombes vieilles de 2500 ans qui, bien que pillées dès l'antiquité, contenaient encore, notamment, un tapis noué merveilleusement conservé et une tenture assez abîmée. Ils montrent des scènes historiées polychromes, et témoignent de la maîtrise précoce de cet art. Le tapis persan connaîtra son apogée en Perse au XVIIè siècle quand le shah crée des ateliers d'Etat d'où sortent des tapis luxueux destinés à l'exportation, notamment vers l'Europe.
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Franck Gehry par Mme Christine Coudert Diplômée de l'école du Louvre - Conférences en vidéoprojection |
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 Fondation d'entreprise Louis Vuitton |
En 2014 Frank Gehry achève à Paris la Fondation Louis Vuitton mais c'est en 1997 à Bilbao avec le musée Guggenheim que sa renommée devient mondiale. Né en 1929, lauréat du Prix Priztker en 1989 ("le Nobel de l'architecture"), la carrière de Frank Gehry, que nous essayerons de retracer, est assurément riche et originale.
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Les aventures de l'écriture par Mr Pierre Alain Mallet Diplômé de l'Ecole du Louvre - Conférences en vidéoprojection |
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| 5 conférences: | ||
 Pierre de Moab IXe siècle av. J.-C. |
La création d'une écriture est l'un des miracles de l'histoire de l'humanité. Pour le comprendre il faut se pencher sur les motivations de cette innovation, puis sur les ressorts qui permirent sa diffusion au sein de grandes civilisations. De l'Indus à la vallée du Nil, en passant par la Mésopotamie, nous voyagerons au coeur de la pensée humaine et de son évolution pour la rendre de plus en plus précise et adaptée aux besoins.
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 Le papyrus d'Ani |
On n'écrit pas sur du marbre comme sur du sable : c'est une évidence. Mais le texte lui même en est changé. Public et solennel sur de la pierre, il prend une dimension intime sur un matériau moins pérenne. La diversité des supports témoigne de l'adaptation aux réalités locales tout autant que des symboliques des messages. Des supports de grande utilisation, papyrus, parchemin puis papier s'imposent peu à peu.
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 Manuscrit médiéval en latin de la Physique d'Aristote |
L'invention de l'encre permet de rendre plus rapide et aisée la réalisation de textes. On passe donc à une logique de règles de mise en page et de réalisation, sans jamais pourtant perdre la dimension humaine du scribe, de l'Egypte au Moyen Age occidental.
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 Entrée à Jérusalem XIVe siècle |
Le livre est un objet précieux, ne serait-ce que par le coût de ses matériaux. Pour refléter le luxe du commanditaire ou du Dieu qui l'a inspiré, il faut "mettre en lumière" et calligraphier le texte. Des couvents aux ateliers laïcs, l'art de la décoration des manuscrits permit de développer et de faire connaitre un art dont s'inspireront peintres et sculpteurs des cathédrales et des palais.
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 Livre électronique |
Vers 1450, l'invention des caractères d'imprimerie mobiles crée une Révolution. Le développement du papier permet de mettre le livre à la portée d'un public toujours plus grand mais change également le statut du livre et les pratiques de lecture. Nous passerons en revue une histoire allant de l'incunable au livre de poche. L'apparition du livre électronique annonce une nouvelle révolution dont les contours commencent à se dessiner.
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 Les utopies en architecturepar Mme Claire Grebille Diplômée de l'Ecole du Louvre - Conférences en vidéoprojection |
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De l'architecture rêvée à l'architecture construite
En 1516, Thomas More invente le mot Utopie et décrit, dans son ouvrage, une société idéale dans une géographie imaginaire. Intégrant le vocabulaire politique du XVIIIe siècle, en désignant un gouvernement imaginaire, à l'image de la république de Platon, le mot prend au milieu du XIXème siècle son sens courant actuel pour désigner un projet politique ou social qui ne tient pas compte de la réalité. Chimère, illusion, mirage, rêverie… si l'utopie se heurte souvent à la réalité, elle a pu néanmoins donner, dans le domaine de l'architecture, des créations parmi les plus belles de l'Homme. |
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| 5 conférences: | ||
 Pienza: parvis de la cathédrale donnant sur le palais communal et sa loggia. |
Avec la Renaissance se développe une ample réflexion sur la cité idéale. Dans son traité De re aedificatoria, Alberti considère la cité, à la fois ville et société, comme une totalité organique, reflet de la perfection humaine. Au tournant des XVème et XVIème siècles, Léonard de Vinci imagine des formes d'urbanisme novatrices, qui traduisent un souci d'ordre et d'hygiène. De la ville pontificale de Pienza, imaginée par Pie II, à Sabbionetta, Richelieu et Charleville, les utopies architecturales balancent entre humanisme et absolutisme.
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 Plan de la ville de Saint-Petersbourg en 1776 sous le règne de Catherine II |
Le XVIIIème siècle s'ouvre et se referme sur la construction de deux nouvelles capitales: utopie autocratique avec Saint-Petersbourg, rêve de Pierre le Grand, ou utopie démocratique avec Washington. Si la pensée visionnaire de Boullée ne dépasse pas le stade du dessin, Claude-Nicolas Ledoux parvient, aux Salines d'Arc-et-Senans, à concrétiser en partie le projet utopique de la construction d'une cité.
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 Le Familistère de Guise (Aisne) fondé par Jean-Baptiste André Godin |
Les utopies Saint-Simonniennes et Fouriéristes inspirent la naissance de cités ouvrières (Noisiel autour de la chocolaterie Meunier), tandis qu'au tournant du siècle, face au développement des villes tentaculaires et de la misère urbaine, Ebenezer Howard invente la cité-jardin. Si le souci de restaurer l'équilibre ville-nature est au cœur de la pensée architecturale de Frank Lloyd Wright, beaucoup d'utopies urbanistiques de la première moitié du XXe siècle partagent la conviction que c'est dans le cadre du développement industriel que doit être réinventée la ville moderne. De Hilberseimer à Le Corbusier, les architectes proposent de vastes projets de �cités industrielles contemporaines� rationnelles, géométriques, standardisées.
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 "La Tour de Babel" vue par Pieter Brueghel l'Ancien au XVIe siècle |
De la tour de Babel de Bruegel à Métropolis de Fritz Lang, les utopies architecturales n'ont cessé de stimuler l'univers visuel et visionnaire des peintres et des cinéastes. C'est dans la bande dessinée, avec les cités obscures de Schuiten, que l'utopie s'épanouit, entre mirage et fantasmagorie pour recréer des capitales comme Paris et Bruxelles, dans des univers parallèles, entre nostalgie et exaltation du futur.
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 La façade du premier Crystal Palace construit à Hyde Park à Londres |
Les expositions universelles sont le champ rêvé pour concrétiser les constructions utopistes, du Crystal Palace à la Tour Eiffel, de Shangai à Milan, architectes et ingénieurs rivalisent d'imagination, de fantaisie et d'inventivité, pour bâtir l'architecture d'une société meilleure afin de donner raison à Lamartine pour qui "les utopies ne sont souvent que des vérités prématurées".
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Histoire et Art de la Sicile par Mme Christine Darmagnac Diplômée de l'Ecole du Louvre - Conférences en vidéoprojection |
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| 5 conférences: | ||
 Site du temple de Ségeste |
A la suite d'une présentation des spécificités géographiques de l'ile, la conférence s'attachera à exposer les origines des premiers peuples de la Sicile, les Sicanes, les Elymes et les Sicules. Des peuples de l�âge du Bronze et de l'âge du Fer qui nous ont laissé quelques témoignages, dont le site archéologique de Ségeste, un des plus attachants de la Sicile.
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 Agrigente Temple de Castor et Pollux |
Dès les IX ème et VIII ème siècles avant notre ère, les Phéniciens puis à leur tour les Grecs s'installent sur les côtes de l'ile, fondant des comptoirs et des colonies. La cohabitation pacifique des premiers siècles cède aux ambitions de Carthage et de Syracuse, conduisant à des guerres destructrices. La Sicile offre plusieurs sites passionnants pour l'étude de ces deux civilisations, dont Motyé, puis Sélinonte, Agrigente et Syracuse sont les fleurons du premier âge d'or de l'île.
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 Enfants sur un char Villa romaine du Casale |
A la suite de la conquête de la péninsule, Rome s'impose comme nouvelle puissance de la région. Puniques et Grecs deviennent l'ennemi à vaincre. Les premiers comme les seconds seront chassés de l'ile, devenue fin du III ème siècle avant notre ère la première Province de la République romaine. La romanisation est attestée par plusieurs monuments, dont une exceptionnelle villa qui offre quelque 3500 m2 de mosaïques de pavement.
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 Intérieur de la chapelle palatine de Palerme |
Derrière les incursions barbares et la domination arabe, les rois normands vont donner à la Sicile du XII ème siècle, son deuxième âge d'or. Un royaume insulaire et péninsulaire qui développe une civilisation brillante aux témoignages architecturaux originaux et uniques, accordant une place privilégiée à la mosaïque à fond d'or.
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 La cathédrale de Noto |
La dernière conférence présente d'une part les temps forts de la période médiévale, d'autre part ceux du baroque, le troisième âge d'or de la Sicile. En effet, si Palerme offre à travers églises et oratoires quelques chefs d'œuvre, le quart Sud-Est de l'île, dans des cités comme Raguse et Noto, évoquent brillamment l'architecture et l'art du décor de la fin du XVII ème et le XVIII ème siècle.
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Histoire et Art de la Corée par Mme Hay-Won Forgione Diplômée de l'Université Paris IV Sorbonne - Conférences en vidéoprojection |
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 Les Trois Royaumes de Corée en 375 |
Une présentation générale historique de la Corée permet de comprendre le contexte géographique. La Chine et les peuples des steppes influencent considérablement la Corée dans le domaine artistique, en particulier l'art du métal et le céladon mais l'identité coréenne s'affirme peu à peu.
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 Emblême royal de la dynastie Choson |
L'époque Choson permet de consolider et d'enrichir l'identité coréenne.
Regard plus particulier sur les arts de la vie quotidienne et croyances populaires de la fin du 18ème - 19ème siècles |
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 Eglise catholique Jeondong |
Le bouddhisme est introduit en Corée au 4ème siècle alors que le chamanisme était la seule religion. Le bouddhisme coréen sera la synthèse des deux pensées.
Le confucianisme est également une religion dominante dans le pays. A partir du 18ème siècle, les missionnaires chrétiens introduisent le catholicisme en Corée. |
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 Im Kwon-taek au 10e Festival du film asiatique de Deauville en 2008 |
Après l'arrivée des premiers missionnaires, les relations diplomatiques se développent au 19ème siècle.
Au XXème siècle, de nombreux artstes coréens viennent travailler en France. |
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Les visites-conférences en 2015-2016
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Les passages couverts parisiens avec Mr Patrick Hemmler |
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 Passage Vivienne |
Les passages couverts parisiens connurent leur apogée sous la Restauration. Ils présentaient l'immense avantage de permettre un cheminement à l'abri des intempéries et des voitures. Ils offraient un raccourci commode et permettaient de flâner au cœur même des îlots. Les passages devinrent vite des lieux d'attraction où les commerces rivalisaient de luxe avec l'élégance raffinée du Palais-Royal ou de la Galerie Vivienne. L'animation des passages Jouffroy et des Panoramas faisait leur renommée. C'est à une plongée dans le XIXème siècle que nous vous convions.
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L'exposition revient sur la confrontation féconde que les artistes contemporains ont menée depuis les années 60, avec l'œuvre de Picasso. Aux grandes phases stylistiques, à certaines œuvres emblématiques de Pablo Picasso telles que les demoiselles d'Avignon et Guernica, répondent les œuvres contemporaines de Hockney, Johns, Lichtenstein, Kippenberger, Warhol, Basquiat ou encore Jeff Koons.
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 "le Verrou" Jean Honoré Fragonard |
L'exposition du musée du Luxembourg réunit peintures, dessins et ouvrages illustrés au contenu érotique parfois explicite. Elle met pour la première fois en lumière l'œuvre de Fragonard à travers ce prisme amoureux, la resituant à la croisée des préoccupations esthétiques et morales du siècle des Lumières.
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Le remarquable ensemble réuni par les époux Hedy et Arthur Hahnloser figure au premier rang des plus prestigieuses collections particulières. Près de 80 chefs d'œuvre par Bonnard, Cézanne, Manet, Manguin, Matisse, Marquet, Renoir ou encore Valloton, Vuillard et Van Gogh seront présentés dans l'hôtel particulier de Paul Marmottan.
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 Façade du musée |
Installé dans la maison familiale du peintre, le musée fut entièrement pensé par Gustave Moreau. Au premier étage sont accrochés portraits de famille et œuvres offertes par ses amis Théodore Chassériau ou Edgar Degas. Les deuxième et troisième étages sont occupés par d'immenses ateliers présentant plusieurs centaines de peintures et aquarelles. Plus de 4 000 dessins donnent un large aperçu des techniques et des sujets de celui qui fut le maître incontesté du symbolisme français.
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 L'hôtel Biron |
Après trois ans et demi de travaux, l'hôtel Biron a retrouvé le lustre du musée né en 1916 de la donation à l'état français de la totalité des œuvres du maître. Alliant le charme de ce lieu unique à une nouvelle muséographie, le musée Rodin du XXIème siècle est un somptueux hommage au géant de la sculpture.
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 Place Pigalle |
L'histoire de Pigalle en tant que "quartier chaud" débute en 1881 avec l'ouverture du cabaret "le Chat Noir". Puis, le "Moulin Rouge" s'installe au bas de la Butte Montmartre, il accueille de nombreux artistes. Vers 1910, des cafés comme "La Nouvelle Athènes", "Le Petit Maxim's" sont fréquentés par des truands et des souteneurs. Dans les années 30, des caïds mais aussi Joséphine Baker, Ernest Hemingway, Picasso se retrouvent au "Rat Mort", au "Petit Jardin" ou au célèbre club de jazz, le "Bricktop's".
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 La charmeuse de serpents |
L'archaïsme est le fil conducteur entre les œuvres de cette exposition. Les chefs d'œuvre d'Henri Rousseau appartenant aux collections du musée d'Orsay et de l'Orangerie sont confrontés aux toiles prêtées par les plus prestigieuses institutions internationales. Des œuvres de Seurat, Delaunay, Kandinsky ou Picasso mais aussi d'artistes méconnus permettent d'évoquer la richesse des liens qui se tissent autour du Douanier Rousseau.
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 Angelus Novus |
A partir de quelques 250 œuvres rassemblées des plus grandes collections internationales et du Zentrum Paul Klee de Berne, cette rétrospective Paul Klee propose un nouveau regard sur son œuvre, prenant pour guide "l'ironie romantique" et ses corollaires de satire et de parodie. Aux côtés d'œuvres majeures rarement prêtées telles les grands formats des années 30 et surtout le mythique "Angelus Novus" jamais exposé en France, des sculptures, des ensembles de dessins ainsi que des travaux méconnus comme les peintures sous verre du début, sont aussi présentés.
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Les visites du patrimoine local en 2015-2016
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Exposition "Les graveurs de l'Imaginaire"
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 Musée Daubigny |
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Le musée Daubigny rend hommage aux graveurs dont la technique a été au service d'un imaginaire foisonnant. Dans la première partie de l'exposition, sera présentée la donation exceptionnelle de gravures surréalistes de Paul Jeannin faite par Hélène Jeannin en 2014 et le monde végétal et poétique de Paule Praud. C'est aussi l'occasion pour le musée de valoriser une partie de ses collections permanentes en présentant des gravures d'Hélène Nué, de Koji Ikuta et bien sûr de Charles François Daubigny. Paule Praud a déjà été présentée au musée en 2014 pour ses compositions de compost d'affiches et de papier journal soigneusement ramassés, triés, collés ensemble, montés en épaisseur, déchirés et lacérés pour devenir des matières nouvelles. C'est une autre facette de son travail que nous vous proposons en 2015. Dans ses gravures, son jardin et la nature sont au cœur de la création et nourrissent son imaginaire. Elle poursuit sa quête de matières nouvelles en réutilisant et en assemblant des fragments de gravures qui sont collés, vernis, poncés à plusieurs reprises jusqu'à obtenir des panneaux de laque qui évoquent l'art oriental. Cette exposition nous donne l'occasion de présenter au public la donation exceptionnelle de gravures faite par Hélène Jeannin en 2014. Paul Jeannin (1939-2011), peintre-graveur était "capable de tout". Il fit de la peinture, des aquarelles, des pastels déclarant avec l'humour noir qui le caractérisait : "c'est épatant le pastel, on éternue et … plus rien sur le papier". Il "s'amusa" aussi à quelques sculptures mais s'accomplit pleinement dans la gravure qui lui permit d'allier rigueur, honnêteté dans le travail et fantaisie. Il travailla avec le perpétuel souci de mettre la technique au service de l'imaginaire du créateur et du spectateur. Son regard lucide, parfois désabusé sur la réalité humaine, parfois inquiétant, parfois drolatique pousse le spectateur à vraiment "regarder". |
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Une visite a été organisée. |
La sortie et le voyage de 2015-2016
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Les vieux quartiers de Chartres et le château de Maintenon. (1 jour)
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